"Au début des années 2000, plusieurs chercheurs ont commencé à étudier le perfectionnisme et l’anxiété de performance des étudiants collégiaux et universitaires, deux phénomènes liés de près à la consommation d’amplificateurs cognitifs. Plus de 15 ans plus tard, les chercheurs affirment que 4 à 6 % des étudiants postsecondaires canadiens en feraient usage, alors que ce taux est de 3 à 11 % au Québec. " Pour consulter l'article, Réseau d'information pour la réussite éducative (RIRE).