« " Dans les écoles allemandes, un garçon sur deux éprouve de grandes difficultés à écrire de manière fluide et lisible. Il en va de même pour une fille sur trois, révèle la première étude à grande échelle sur l’évolution de l’écriture manuscrite en Allemagne. En cause, la motricité fine des écoliers, c’est-à-dire la coordination entre la main et les doigts pendant le processus d’écriture", annonce la revue de l'ambassade d'Allemagne à Paris. Selon Josef Kraus, président de la Fédération des enseignants (DL) c'ets le résultat du développement du numérique dans la vie quotidienne des élèves. Mais J Kraus dénonce aussi des évolutions pédagogiques comme la multiplication des QCM et d'une façon générale le fait qu'on écrive moins à l'école. » Suite de l'article, Café pédagogique.