« On demande de plus en plus aux enseignants d’assumer de nouvelles responsabilités. On leur demande d’enseigner, mais également de veiller à l’équilibre psychologique et affectif de leurs élèves. Qu’en est-il des futurs enseignants? Se sentent-ils prêts à intervenir? Sont-ils eux-mêmes outillés émotionnellement? Ce court article présente quelques pistes pour poursuivre la réflexion en ce qui concerne la place de la gestion des émotions en formation universitaire au regard des différentes problématiques vécues en milieu scolaire. Les futurs enseignants, finissants au baccalauréat en éducation préscolaire et enseignement primaire (BEPEP), perçoivent l’importance d’être outillés émotionnellement pour intervenir auprès des élèves. Ils aspirent à ce que la formation leur fasse connaitre les possibilités d’émotions vécues en enseignement pour intervenir, entre autres, dans des cas d’intimidation ou de violence. » Suite de l'article, CEA.